CANCER DU COL DE L’UTERUS : Attention aux risques d’un traitement trop excessif

Et quand on a le papillomavirus ?

Si je m’intéresse à ce sujet de près, c’est parce que je suis concernée. Alors figurez-vous que pour l’instant, mon frottis est mauvais mais le virus « dort ». Autant vous dire qu’il n’y a rien que je puisse faire, à part refaire un examen 6 mois après avoir obtenu les résultats (résultats angoissants, je vous l’avoue). Mais en attendant, vous me connaissez, j’ai voulu en savoir plus sur ce fichu virus…

Une fois que la maladie a été dépistée et qu’elle est à un stade avancée (je vous passe les détails d’ordre médical, mais pour faire vite, il y a plusieurs stades précancéreux), le traitement qui suit s’appelle la conisation.

Il s’agit d’une intervention chirurgicale consistant à retirer les lésions du col de l’utérus qui pourraient dégénérer en cancer. Cette intervention est ainsi réalisée, mais il semblerait qu’elle soit pas obligatoire… Pourtant, c’est bel et bien ce qui est proposé dans le protocole officiel de traitement de la maladie.

Apparemment, un tiers de ces traitements ne serait pas justifié. En d’autres termes, seulement 10% des femmes qui présentent des lésions développeront un cancer du col de l’utérus. Avouez que ça fait un peu flipper quand même, car la conisation n’est pas sans risque… 

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